Friday, July 28, 2006

Maladie II


Il y a quelque chose de voluptueux qui jaillie alors que la maladie de langueur nous oblige à l'inactivité physique, quelque chose qui pousse notre sensualité comme un remède devant la douleur et l'impuissance, peut-être cherchant cettes drogues endogènes tels sont les endorphines et les enkèphalines, comme s'il était un cri plaissant du corps pour éloigner le mal.

C'est alors que la vie s'aisie au plaisir pour combattre la douleur.

Cela veut dire Quoi?

Les solutions aux maladies, les remèdes, beaucoup de fois sont dans notre prope corps, seulement il faut l'écouter attentivement... et surtout ne pas combattre contre soi-même.

Plaisir-douleur sont ils les deux plats de la balance, les deux faces d'une même monnaie. N'existent pas l'un sans l'autre, il faut jouer avec eux, les gâter, les embobiner, les tromper s'il était nécessaire... jusqu'à la douleur devienne plaisir petit à petit (ou au contraire), sans y forcer, tout doucement...

...Et la douleur ouvrira la voie au plaisir, au plaisir de la santé, au plaisir d'être vif, au plaisir de sentir plaisir malgré tout!

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