Friday, February 29, 2008

Fleetwood Mac - Need Your Love So Bad


Y este también es Fleetwood Mac. El FM menos conocido. El original, nacido en Londres en 1967, con el extraordinario guitarist/bluesman Peter Green.
El blues puro y elegante de Green, su rift de guitarra, contagió a su generación (él fue el compositor de Black Magic Woman que popularizaría Carlos Santana).
Lástima que su intenso flirteo con el LSD le impidió -como a tantos extaordinarios músicos de la época- culminar una carrera preñada de genialidad. El mismo Green renegaría de hacer "carrera", le asustaba el aspecto comercial de la creación, su pespectiva productiva.
En fin, gracias a su marcha el grupo sufrió varias etapas críticas que lo llevarían hasta la integración de Stevie Nicks y Lindsay Buckinham en el grupo, lo que conllevaría el nacimiento de una de las bandas más exitosas del Rock de todos los tiempos.
Pero el Peter Green's Fleetwood Mac quedará como el origen de un sueño interrumpido, un sueño excelente de buen Blues.

Thursday, February 28, 2008

Fleetwood Mac Stevie Nicks Gypsy


Me encanta el ritmo sincopado de la bateria de Mick Fleetwood, el bajo de John McVie y la voz de Stevie Nicks, acariciado aquí y allá por la suave guitarra casi contrapuntísitca de Lindsay Buckingham -colosal el monólogo/diálogo instrumental que se establece al final del tema entre la guitarra y la batería -lástima que aquí este cortado.
¡Una delicia!

Fleetwood Mac - Dreams


Uno de esos temas íntimamente hilvanados a la memoria sensorial de mi cuerpo y al acervo emocional de mi alma.
Grandes, grandes, Fleetwood Mac:
Rhiannon, Gipsy, Sara, Albatross, etc..., son composiciones que brillan como estrellas en el firmamento musical.
Dreams, dreams, dreams...
Atmósfera onírica la de ese Albatross de la banda original, allá por 1969, antes de la llegada de Stephanie "Stevie" Nicks al grupo -con quien conseguiría el extraordinario éxito que tuvo Fleetwood Mac en la segunda mitad de los años 70's y primeros 80's.

Álbumes como Fleetwood Mac, Rumors, Tusk o Mirage forman parte de la historia de la buena, buena, buena música.

Nancy Sinatra Bang Bang


Quentin Tarantino la rescató del olvido, o, más bien, la volvió a poner en candelero con la extraordinaria banda sonora de Kill Bill vol 1 (soberbia también la del vol 2). Una estupenda canción con una inolvidable guitarra trémula que acentúa su dramatismo de vodevil (o de novela negra de los años sesenta).
La salida de plano final no tiene desperdicio...

Sunday, February 24, 2008

These Boots were made for Walking Nancy Sinatra

L'esthétique simple et coloriste empreinte d'espiéglerie naïve fait de cette vidéo une pièce vraiment géniale.
Vidéo au valeur de référence pour l'histoire sociologique audio-visuelle: tout le glamour des "sixties" dans l'enceint de la societé "bien-pensante".
La chorégraphie presque niais de ces syrènes legèrement grassouillettes souligne ce caractère prochain et naturel -exempt de l'artifice conceptuel des vidèos d'aujourdhui.
Une délice de chanson qui fait partie de l'extraordinaire bande sonnore d'un film mytique de Stanley Kubrick "Full Metal Jacket".

Wednesday, February 20, 2008

Mea culpa

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Muros altos, invisibles,
se levantan, infranqueables,
desde abismos insondables
hasta cumbres imposibles.

Nada allí valen escalas
ni pericia de alpinista,
que para salvar su arista
es preciso tener alas.

Son las alas el talento,
son los muros de torpeza
del que cree que con destreza
el plomo mudará en viento.

l

Tuesday, February 19, 2008

Existence-Inexistence


Elle a existée,
Elle n'a pas existée,
Elle a existée,
Elle n'a pas existée,
Elle a existée,
Elle n'a pas existée,
Elle a existée,
Elle n'a pas existée,
Elle a existée,
Elle n'a pas existée,
Elle a existée,
Elle n'a pas existée,
Elle a existée,
Elle n'a pas existée,
Elle a existée,
Elle n'a pas existée,...
... et Moi?
.
l

Monday, February 18, 2008

La femme qui n'a jamais existée

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C'est curieux, très curieux, d'avoir éprouvé la présence physique de quelqu'un qui n'a existé pas réellement.

Fut-il un rêve? Fut-elle une réalité? Je sais pas.

Je me souviens d'une femme, d'une belle femme brune aux yeux rêveurs et voix délicate, mais cette femme n'est pas celle qui s'approprié de mon coeur et mon esprit. Je sais que la femme qui a grandi de jour en jour dans mon intérieur jusqu'a devenir omniprésente ne corréspond pas à cette femme-là de regard absorbé. Cette femme alien -demi-papillon, demi-succube- m'a rongé les entrailles pendant sa métamorphose en me rendant vide. Son existence est proportionnelle à mon inéxistence. À fur et à mesure qu'elle grandissait je rapetissais.
C'était comme si je soufrait une transfiguration, une transmutation: comme si le démiurge, lui-même, donnait lieu à son propre création.
La femme qui a volé mon raison a née de moi-même. L'autre, celle de chair et d'os, n'était que l'excuse, la personnification d'une nécessité.
Parfois nous nous trompons et nous confondons les rêveries et la réalité. Tout dépend de l'intensité de la nécessité.

De toutes manières, quel beau quand la rêverie prend corps... c'est à dire, quand nous devenons fous, fous de passion, fous d'irréalité, fous de possibilité.

l

Sunday, February 17, 2008

Jane B.


Ces muses de voix fragile et douce, à peine un souffle caressant, presque un filet de voix, de nuances sensuelles; une voix enveloppante comme un sortilège, la voix mythique des sirènes terrestres: sifflement qui vole les coeurs des hommes sensibles autant que ceux des rudes; voix aux doigts dèlicats qui traversent la chair pour caresser l'âme; voix qui frisonne, qui vous hérisse le poil, qui vous rend fou; voix comme des flèches, voix comme des éclairs, perçante, fondante, blessante...

Voix comme celle de Jane Birkin, aussi comme celle d'Elle.

l

Saturday, February 16, 2008

Scarlett: la beauté imparfaite

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Elle n'est pas Marylin, ni la Bergman, ni Kim Novak, ni La Divine, bien sûr, mais elle est l'expression de la beauté d'aujourdhui. Elle n'est pas élegante, ni sophistiquée, ni glamoureuse, elle est une beauté naturelle, prochaine, séduisante, presque animale: retentissante et fragante. Aussi est une beauté déconcertante, une subtile mélange de puissance et fragilité.

Un beau sourire, des lèvres charneuses, des yeux legèrement obliques, le nez parfait, le cou svelt, un regard franc et glissant (!?), un corps superbe (la poitrine trop exuberante à mon avis -si seulement j'étais son bébé... pour y manger comme quatre: le pays de cocagne laitier, les divines mamelles opulentes gonflées de blanche ambroisie, ñam ñam! (Pardon pour l'expressivité, peut-être, trop maternelle)).

Enfin, Scarlett*, my lovely lost in translation, my seductive match point, my fascinating girl with a pearl earring,... my honey dream of celluloid.


Elle est, aussi, le contre-point de mon ancienne chère muse: une blonde et l'autre brune, les deux ensemble: pure symphonie de beauté, le ciel et l'enfer en même temps: l'existence sublime de la chair faite esprit voluptueux, le rêve des rêves: pure onanisme onirique, le retour à la naïveté originale et paradisiaque, le plaisir sans cesse d'un enthousiasme folâtre et affolant...

* Scarlett Johansson vient de faire son dernier film The other Boleyn Girl, présente ces jours à la Berlinale (passionant duel intérpretatif avec Natalie Portman) .
Pendant cette année, 2008, elle aussi est présente dans d'autres films qui sont en phase de post ou pre production (parmi eux une autre film d'époque: Mary Queen of Scots, oú elle joue le rôle basé sur la vie orageuse et tragique de la malheureuse Marie Stuart) .

l

Friday, February 15, 2008



Je mange des souvenirs au sauce de peut-être.
Je bois d'avenir au bouquet de désirs évanouis.
Je suis un glouton d'experiences émouvantes.
Je suis ivre de beauté immarcescible.
Je suis victime de félicités ensorcelantes.
Je... Moi... Vous... Elle!

Thursday, February 14, 2008

Vous: Elle


Comme une chanson tendre,
comme une fleur amoureuse,
comme une flamme sensuelle,
comme une aube radieuse,
comme un souffle qui m'enivre:
Elle partout, toujours Elle.
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Sunday, February 10, 2008

François Truffaut, Jean-Pierre Léaud, Claude Jade: Doinel


Que reste-t-il?
Merveilleuse chanson de Trenet qui fait partie de la bande sonore de "Baisers Volés", l'un des films du cycle Antoine Doinel de François Truffaut: Les 400 coups, Baisers volés, Domicile conyugal et L'amour en fuite, tous eux des films charmants et pleins d'une naïveté émouvante (oui, oui, "les quatre cents coups" compris: naif aux larmes, je pense).

Mais... Que reste-t-il de ces moments? De ces amours? Oú vont-ils?

La perfection de l'amour: l'amour non vécu, le désir qui ne sera jamais satisfait, palpitant, éternel.

Dédié à celle qui sait.

Sunday, February 03, 2008

Onomástica gris


Febrero ha venido gris, decolorado,
dándose aires fríos y desapacibles;
gris metálico, gris acero, gris plomizo;
gris desganado, cansado de su grisura,
gris sin sombras, ahogada la luz
en su vastedad gris mate, sin brillo;
gris que aplasta, que impide el batir de alas
con su gravedad omnipresente;
gris que engulle en su mar hecho jirones
de múltiples matices, de espuma sucia;
gris de a penas descuidada llovizna,
apático, indolente, quizás descontento:
casi blanco, casi negro, casi... nada.

Febrero, mi Febrero, ese Febrero gris
que ya me saludó, entre calles inundadas,
aquel año en que a la lluvia caída se sumaba
el exiguo y gris aguacero de mis primeros llantos.
.
l

Friday, February 01, 2008

¡Qué extraño!

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¿De dónde esta dicha?
¿De qué temblor? ¿De qué tierno escalofrío?
¿De qué caricia ahogada y no vivida?
¿De qué sinsentido?
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Qué extraña a veces se muestra la vida,
qué raros sus designios:
placer en la desdicha,
clamor en el silencio, ¡Qué desatino!
.
Cada vez que en ella pienso
todas las estrellas lucen,
dulces, en mi firmamento.
l

Vocalise - Sergei Rachmaninov


G.P.Seurat, The National Gallery, Une baignade à Asnières, Vous, le luxe, la calme, la volupté...
Le passé, toujours présent!

Une très bonne ambientation musicale pour une promenade par cette peinture, "Un dimanche après-midi à l'Ile de la Grande Jatte". Une promenade par le souvenir incrusté dans le prèsent d'un future qui ne cesse pas.