En me promenant sur la plage parfois je m’adonne à réfléchir sur ce que j’y trouve.
Des enfants nus jouant au bord de la mer, agés d’entre cinq et dix ans, sont un chant à la nature, à la sensualité nette des querubins, sans sexualité mais chargée d'une volupté émouvante. Sa peau humide, ébluoissante par les reflets du soleil, semble faite de joie de vivre: c’est la vie resplendissante qui pousse et repousse sans préjugés avec l'innocence du paradis.
Plus devant un splendide bouquet de filles, agés de vingt ans environ, exhibent ses beaux et sveltes corps au soleil et aux regards de ceux qui se promenent au bord de la plage (moi même). Quelques unes d’entre elles montrent orgueilleuses ses jolis seins fermes d’une manière mi-coquette et mi-naturelle.
Dans un bouquet semblable à celui-ci d’habitude regne la joie, le rire, l’amusement, les regards complices, les chouchotements, les conversations éffrontées, enfin, c'est la vie insouciante et legère qui s’entraîne pour les complexes relations sociaux, c'est la vie qui se prépare pour la bataille: pour le plaisir et la déception.
Plus loin, ici et là, des personnes agées semblent des vieux bateaux échoués sur le sable.
Leurs corps parcheminés par le temps et le soleil se meuvent avec difficultées et ses esprits, peut-être, vivent des souvenirs et des conclussions qui ne sirvent à rien. Son regard vers aucun lieu semble dire: "Toute une vie pour... ça!" C’est la vie qui s’éteint.
Des enfants nus jouant au bord de la mer, agés d’entre cinq et dix ans, sont un chant à la nature, à la sensualité nette des querubins, sans sexualité mais chargée d'une volupté émouvante. Sa peau humide, ébluoissante par les reflets du soleil, semble faite de joie de vivre: c’est la vie resplendissante qui pousse et repousse sans préjugés avec l'innocence du paradis.
Plus devant un splendide bouquet de filles, agés de vingt ans environ, exhibent ses beaux et sveltes corps au soleil et aux regards de ceux qui se promenent au bord de la plage (moi même). Quelques unes d’entre elles montrent orgueilleuses ses jolis seins fermes d’une manière mi-coquette et mi-naturelle.
Dans un bouquet semblable à celui-ci d’habitude regne la joie, le rire, l’amusement, les regards complices, les chouchotements, les conversations éffrontées, enfin, c'est la vie insouciante et legère qui s’entraîne pour les complexes relations sociaux, c'est la vie qui se prépare pour la bataille: pour le plaisir et la déception.
Plus loin, ici et là, des personnes agées semblent des vieux bateaux échoués sur le sable.
Leurs corps parcheminés par le temps et le soleil se meuvent avec difficultées et ses esprits, peut-être, vivent des souvenirs et des conclussions qui ne sirvent à rien. Son regard vers aucun lieu semble dire: "Toute une vie pour... ça!" C’est la vie qui s’éteint.
No comments:
Post a Comment