Mélanges: black power in âge moyenne and woman power in actualité and... un petit peu de yihad. (???)
Essai plus ou moins heureux pour exorciser les propres démons invoquant l'esprit de la Beauté. L'homme approche du vrai à coups d'artifice.
Thursday, December 31, 2009
The OFFICIAL "Run This Town" Video
David Guetta feat. Kelly Rowland - When Love Takes Over
Pour faire ses adieux à l'année qui s'en va (en attendant que la prochaine soit bien meilleure... au moins pour moi).
Thursday, December 17, 2009
Romance de Nochebuena
Saturday, November 28, 2009
Another Sunny Day
Another sunny sunny day, one more. I can see through my window the blue sea, the blue sky, the blues mountains,.. all is blue this morning for me, even the thoughs.
(Your memory too).
Bob Dylan - Like A Rolling Stone
Avoir la sensibilité d'un galet, poli, douce, sans arêtes, sans fils, sans rugosités; mais dur, tertiaire, avec la conscience d'une pierre de crue, sédimentaire, une pierre jolie de veines blanches et rosées,...
Le commencemnt de cette chanson est d'une force dévastatrice, une charge de profundité qui explose dans nos sens avec la puissance d'une bombe sonore émotionnelle de plusieurs mégatonnes.
Knockin' on Heaven's Door - Bob Dylan - Essential Bob Dylan
Il était une fois un message dans une bouteille envoyé vers la félicité... elle va répondre, mais sa réponse était fille de la perplexité et l'ambiguïté, elle était la réponse de celle qui ne sait pas quoi répondre.
Mais.. elle va répondre, et son ambiguïte fut son céleste.
Quand ce que l'on craint le plus est le silence même l'insulte est une bénédiction.
On y écoute et ça suffit... La source pourra alors continuer à jaillir.
Wednesday, November 25, 2009
Billie Holiday - The Blues Are Brewin'
Une des melodieuses chansons de Lady Day pour la nuit.
Chanson teintée de cette nonchalance nocturne qui habite les ailleurs sales des consciences propes.
Pas des nuances déchirants, pas de désespoir, pas d'échec; seulement un symptôme clair de défaite, le discret annonce de la retraite, la fatigue existentialiste de celui qui n'existe plus... seulement une ombre, un reflet de lune... quelque chose d'irréelle, un blues distillé... ménaçant..
Fischer, Furtwangler: Beethoven Piano Concerto no. 5 "Emperor" (3/1/2)
Ici oui on respecte les coups logiques: un temp = un vidéoclip.
Dans ce cas il n'y pas une vedette instrumentiste mais qu'elle est le chef d'orchestre et, bien sur, le compositeur -Beethoven, ici-.
Nous vérifions comme l'harmonie parmi le pianiste et l'accompagnement est plus naturel, l'assortiment intrumentiste-orchestre est plus homogène, l'orchestre plus protagoniste, le pianiste plus solidaire, en atteignant donc, peut-être, moins émotivité mais plus force d'ensemble.
Furtwängler-Gould deux génies absolus chaqu'un dans son propre parcelle.
Glenn Gould - Beethoven's "Emperor" Concerto 3/4
On devrai faire bien les choses. Les clips devraient contenir, au moins, un temp intègrale. Bon, c'est ça.
Dans ce vidéoclip nous voyons -et écoutons- un pianiste vedette -prodigieux, d'une tecnique fabuleuse- et une orchestre d'accompagnement -secondaire-; même il invente des notes: c'est un intérprete-créateur.
Toute la sensibilité de cette pièce -l'adagio un poco motto- passe en se glissant par les doigts de Gould et s'exprime pleine de nuances, de cromatisme sonore; ici l'orchestre n'a que souligner la voix nete, cristalline, metallique ou profonde des coups des marteaux bien mesurés sur les cordes.
Cette est une intérpretation presque "méridional".
Par contre dans le vidéoclip suivante, nous écoutons une pièce plus orchestrale oú le pianiste n'est que un instrumentiste plus, bien que très important, de l'oeuvre...
Pat Metheny Au Lait
La magie calme de la guitare de Pat Metheny ici ilustrée par une performance graphique avec des réminiscences fractaliennes et consistence globulaire.
Comme un rêve d'après-midi oú le coeur s'en va vers terres lointaines à la recherche d'un amour en fuite...
Tuesday, November 24, 2009
Don't Explain Billie Holiday
La nuit se laissait tomber avec la lourdeur d'une grosse matrone sur le lit après un dur jour de travail.
Dans l'inquiétant silence nocturne on écoutait au loin la voix caractéristique -puissante et fragile en même temps- de Billie Holiday -peut-être quelq'un se couvrît avant la solitude-.
Sur sa tête un ciel parsemé de petits points lumineux était étranger à les souffrances humaines, à ses peines.
Il n'importe point.
Les nuits tombent ou se glissent suivant l'état animique de celui qui la perçóit.
Dans la nuit les corps se serrent pour fuir de la peur. Peur à l'obscurité, à l'inconnu, au sommeil,... au sommeil éternel, c'est à dire, à la mort.
Dans la nuit l'âme se peuple de fantômes,... et de rêves impossibles qui semblent possibles, de monstres et de mystère. C'est pour ça que l'imagination s'exacerbe, elle crée ses propres antidotes: ses balles d'argent, ses chapelets d'ails, son eau bénite,... Ainsi: le blues, le jazz, l'alcool,... l'amour, la consolation de l'autre, l'oubli dans l'autre, le dévouement, la perte... en un mot: l'abandon de la responsabilité de las propres actions, l'occultation, le cache-cache.
Monday, November 23, 2009
Betty Carter @ Montreux Jazz Festival 1980
Pure délicatesse. Sensibilité en cuillerées petites. Bécotage d'accords vocales invraisemblables. Jongleries de difficile harmonie
Le son fait caresse, la voix qui serre doucement et qui voltige comme un papillon parmi les battements du coeur.
Pour nuits Félimondieuses.
(Ou comme ça)
The Man I Love - Betty Carter
Nights in blue moon...
Pour être aux yeux fermés parcourant la peau douce du cou d'une belle femme avec les lèvres chaudes et tendres; ou buvant un bon scotch whisky en rappelant des moments non vécus mais qui bien pouvaient avoir arrivé; ou sentant la quantité de beauté de laquelle on y a conscience et qui s'échappe parmi les doigts comme de l'eau fraîche et cristalline...
Sentiment dans l'abstrait, émotion primitive et arcane, passion aux ailes coupées.
Baume épaix et pâteux, fait avec l'hésitante voix consolatrice d'une nuit sans lune, pour étendre sur l'âme affligée.
(Expériences autour de Félimonde)
Saturday, November 21, 2009
Yann Tiersen - L'absente
Ses beaux yeux regardent à travers de la pluie. Le regard absorvé vers nulle part.
Le coeur bats monotone, sans aucune émotion, sans objectif précis, il seulement bats, par habitude.
Quelque chose qui semble un douleur dans le poitrine l'assaille, le coeur commence à battre foulement, son regard maintenant vitreux s'abîme au-delà de soi même, il se perd dans la mémoire d'autre temps...
Une larme solitaire se glise sur sa joue jusqu'à les lèvres entrouverts en se diluant dans sa bouche.
La pluie redouble, le saveur saumâtre de la larme lui rappele vaguement un sentiment du passé lointain, très très lointain... quand elle va vivre à côté de la mer et son coeur battait gaiement sous le soleil de levant...
On va trouver son corps étendu sur le sol pavé, la pluie tombait sur son visage qui ébauchait un sourire léger.
Yann Tiersen - La Veillée
Belle valse de Yann Tiersen (il est un grand "valsiste").
Valse de fête foraine d'automne.
Valse triste et mélancolique.
Valse de sourire gelée, valse pour danser aux pieds nus, valse pour tourner et tourner comme un manège vieux et abîmé.
La valse d'un papillón sans ailes,
La valse d'un monde gris et pluvieux, plein de vétilles et jouets cassés.
Une valse pour les amoureux déçus et les solitaires...
Sunday, November 08, 2009
Flagstad and Melchior - Tristan and Isolde "Love Duet", 2/2
Seconde part de cette merveille.
Peut-être qu'il s'agisse d'un enregistrament de la interprétation que Wilhelm Furtwangler va diriger en 1951, la plus fameuse de tous ses réalisations de Tristan und Isolde.
Flagstad and Melchior - Tristan and Isolde "Love Duet", 1/2
En parlant de moments lyriques chez Wagner: cette prodigieuse interprétation du "O Sink her Nieder", duetto d'amour de l'Act II de Tristan und Isolde, est une des sommets lyriques de tous les temps. La voix puissante et claire, déchirante et romantique de Kirsten Flagstad atteint ici une hauteur difficile de surpasser et Melchior done une réponse parfait de modulation et profondeur, en créant tous ensemble une des pièces plus belles de la musique classique.
Quel dommage d'un unique archive!
Enfin...
(Dédiée, bien sur, à ma muse des muses, ma chère Félimonde).
Saturday, November 07, 2009
Wagner - Parsifal - Grail Scene part 2
Et d'une fameuse scène choral féminine à une autre oú les voix masculines luisent avec tout son splendeur, la scène du Graal. La tension dramatique de cette scène, ses diverses leivmotivs superbement assortis, la cadence solemnelle, ils font de ce fragment une autre merveille dont le génie de Wagner s'exprime d'une façon sublime.
Pour rêver.
Wagner - Parsifal - Flower Maidens Scene
L'un des moments les plus lyriques du Parsifal et, peut-être, de toute l'oeuvre wagnerienne. Cette scène a eu aussi une grande influence sur la musique qui, au début du XXième siècle, les symbolistes et l'avant-garde impressionniste vont composer; ainsi, dans cette pièce, il y a beaucoup de Débussy et Ravel. Il ne se comprendrait pas Prélude à l'Après-midi d'un Faune ou Daphnis et Chloé sans cette petite merveille musique-chorale du Parsifal oú les fleurs magiques du jardin de Klingsor essayeront de séduir Parsifal.
Cet enrestrigement appartient à la superbe répresentation de 1962 du Festival de Bayreuth et est une des dernieres qui va diriger le plus éminent interprète de Parsifal, Kna le blond (Hans Knappertsbusch).
Wednesday, November 04, 2009
Delorean - Deli
Avec son joli sourire, plein de douce rien, la women-in-black dansait se mouvant et caressant l'air avec une délicatesse mensurée. La peau blanche et satinée de son corps retentissant brillait splendide parmi le noir de ses vêtements.
(Souvenirs de Félimonde)
Delorean - Moonson
Elle dansait parmi la foule. Elle dansait, la woman-in-black, avec sa chaîne sur le cheville et ses beaux yeux regardant vers nulle part, pleins de soi mêmes, débordants de sa propre beauté.
(Souvenirs de Félimonde)
Monday, November 02, 2009
Dinah Washington - Unforgettable
Un petit peu de glamour s'il vous plait. Pour dancer aux yeux fermés, les corps embrassés, les coeurs bloup-doup bloup-doup parlant entre eux, la chaude brise des haleines soufflant sur les cous, la peau hérisseé, la chair palpitante... les âmes à l'assaut de la volonté de l'autre.
Enfin, c'est l'amour écourant, mielleux; un gateaux de chocolat aux griottines.
Pour la muse des muses, ma chère Félimonde!
Monday, October 19, 2009
Pour être poète
y virginal al mismo tiempo,
campo de batalla y de cultivo
que abone sangre y lluvia riegue.
Para ser poeta, es decir,
para ser seductor de palabras,
sólo es preciso serlo.
lll
MGMT - Kids (Pet Shop Boys Synthpop Mix)
La version originale de MGMT est plus charmante, plus passionnelle, pour moi. Mais PSB ce sont PSB, et ils ont fait une autre adorable version.
(Les braises continuent...)
Monday, October 05, 2009
Dindi by Astrud Gilberto
Dindi, un joli prénom pour un papillon, aussi pour une fée espiègle... et une muse coquine.
Astrud Gilberto - Who Needs Forever
L'été s'en va...
Souplesse et relax (mieux à votre côté: mon Dieu, quelles sensations!).
Astrudambiance/Feliambiance.
A Certain Sadness- Astrud Gilberto
Des orchidées pour ma muse inoubliable.
La belle voix d'Astrud me souviens votre voix, madame.
Une belle chanson pour un beau rêve.
Sunday, October 04, 2009
Global Communication - 12 18
Pour vous aimer trés lentement...
pour vous caresser...
pour vous regarder...
pour vous sentir...
pour vous.
Saturday, September 19, 2009
Telefon Tel Aviv - Bubble And Spike
Elle, Elle, toujours, Elle... Mon sourire de papillon, mon regard songeur; Elle, ma muse ravissante, encore, á tout jamais.
Saturday, August 29, 2009
Saturday, August 22, 2009
Insomnio vencido
Cíclope, así, escribo:
con un ojo abierto
y el otro cerrado
-pues no ve un pimiento.
Estoy apoyado
contra el cabecero,
mientras elucubro
convocando al sueño.
Ya van tres tercetos
y el primer bostezo;
con no poca suerte
del quinto no excedo.
Y el quinto es, por fin,
quien será el postrero
pues que ya claudica
el ojo despierto.
Friday, August 14, 2009
Autour de la douleur
Wednesday, August 12, 2009
Wednesday, August 05, 2009
DORIAN - Paraísos artificiales
No fue posible...
Polifemo amaga de nuevo. El cíclope se reivindica otra vez.
Voy a necesitar paraísos artificiales, ya que los naturales se me niegan.
En fin, Job, Job, a ti clamo y te suplico algo de tu infinita paciencia.
No hay más vida que esta, habrá que aceptarla con todo lo que venga...
A Ella -a ti- también la perdi, y su dolor ha sido más intwenso y me ha durado mucho más tiempo, pero... En su -tu- pérdida iba preñada la dicha. Ahora no hay dicha, sólo dolor, molestias,
reinvención de la vida y adecuación de mis sentimientos más cotidianos a una realidad adversa y en monovisión.
Qué se le va a hacer...
Friday, July 31, 2009
The Temptations - (HQ) Papa was a rollin'stone (1972)
Un poco de marcha setentera para "verlo" mejor esta mañana en que Julio se despide...
¿Vendrá Ella este año en Agosto? ¿Estaré yo?
Papa was a rolling stone; pero, acaso, ¿hay otra forma de vivir sintiéndose vivo (es decir, "rodado").
Para ti, vengas o no vengas; esté, yo, o no esté.
Para aquella musa francesa que yo tanto adoré.
Wednesday, July 29, 2009
Muera el cíclope
Obstinación de la imagen
por aparecer verdadera:
sus límites y perfiles
propios, no los que interpreta
un sol amanecido
de una noche incierta:
líneas imposibles, curvas
retorcidas, huídas rectas,
lo estático en movimiento
perpetuo: mar de las cosas,
oleaje que se expresa
en ese continuo fluir
que, para el ojo esquivo,
es la vanal apariencia
del mundo que le rodea.
Sueña el Cíclope que muere
cuando el ojo recupera
-que habiéndosele antes muerto,
cuando cíclope no era,
en cíclope le convirtió-,
y, así, volviéndose el hechizo
en la proposición inversa,
al ojo que muerto enterró
le resucita y celebra.
Muera el Cíclope, pues,
y de su tumba el que fue
a la luminosa vida
vuelva.
.
Aretha Franklin - I Say A Little Prayer
Nadie mejor que ella para ejercer de intermediario.
Una pequeña plegaria, por una vez, por un cíclope que, acaso, quisiera dejar de serlo.
Sunday, July 26, 2009
Mary Margaret O'Hara - Year in Song
Esta mujer, además de engullirse a Tom Waits, parece que también se desayuna algún que otro ruiseñor, jilguero y pájaro cuco, por las mañanas.
Cantante absolutamente genial, puro talento hecho expresividad vocal -y corporal-.
Alejada de los stándares y las modas, alejada de la radio-fórmula y la vulgar promoción consumista de música rápida.
Y, si no, digáseme: ¿Én qué género encuadrarla?.
Acompañada por una banda de extraordinaria calidad, dotada de un sonido personal, poderoso y minimalista, es el complemento ideal para su singularísima voz.
Saturday, July 25, 2009
Mary Margaret O'Hara - Don't be Afraid - September Songs
¡¡¡ Fantástica !!!
Mary Margaret O'Hara tras haberse engullido a Tom Waits.
Me he quedado atónito.
¿Qué es música? ¿Qué fin tiene?
Si uno de sus más buscados objetivos es conmover, aquí ha alcanzado el grado supremo de realización.
Turbación, sorpresa, perplejidad, dramatismo,... emoción. Emoción a raudales.
¡Qué grande es esta mujer!
¡Imposible no enamorarse de ella! Es la mujer Órfica: la madre, la amada y la amante Tierra; tambien la puta enamorada, el grito de la entraña abandonada, el suspiro entrecortado de un alma asfixiada.
Rendido a tus pies MMM.
Mary Margaret O'Hara - Body's in Trouble video
Por si se nos había olvidado.
Esta canción ya tiene su tiempo, pero aún respira un ambiente embriagador y fresco, lleno de sensualidad y sensibilidad, y de talento no digamos... sobrada.
Esta eclosión de sutiles voces femeninas me han traído a las mientes a esta portentosa y única Mary Margaret O'Hara;
puro sueño hecho canción en movimiento. Pura belleza, inmarcesible; siempre, siempre eterna.
Jazmines y rosas, magnolias y peonias, lirios y nardos; todo, todo el excelso jardín en esta pasmosa voz polícroma, profundamente aromática...
Anni B Sweet - Again
Otra jovencísima cantante española con una angelical voz y mucho talento que, obviamente, canta en inglés.
Si quieres ser alguien en esto de la música más allá de los pirineos...
No obstante creo que estamos ante un florecimiento de delicadeza y sensibilidad vocal en la música pop-rock (véanse, por ejemplo, los casos de Amy y Duffy).
Todas estas voces traen, quizás, algo del cálido y humano consuelo tan necesario en una época tan... ¿descorazonadora?.
Lo dicho, bienvenidas sean: en inglés, en ruso o en chino.
¡Viva la Belleza... vocal!
Sunday, July 19, 2009
It's My Own Cheating Heart That Makes Me Cry
FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB,...
Preciosa estética, casi sesentera en lo vocal, la de este tema de uno de los nuevos valores del panorama musical indie.
Otro gran grupo presente en el Festival.
Saturday, July 18, 2009
Russian Red - Cigarrettes (Radio 3)
FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB,...
En este momento está actuando en el escenario circular del FIB. Una gozada de voz y musicalidad; y, además,... ¡Es española! (Lourdes Hernández aka Russian Red).
Voz evocadora (Feist), melodiosa, danzarina, clara y juguetona como una fuente de montaña.
Guitarra formidable, arreglos limpios como la nieve.
Increíble, pero cierto: Lourdes Hernández, Russian Red.
Kings of Leon - T in the Park 09...Sex On Fire
FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB,...
Lástima que esto no pudo sonar ayer en Benicàssim por culpa del viento; bueno, ni esto ni nada de Kings of Leon.
Hubiera sido algo tal que así, más o menos.
Otra vez será...
Friday, July 17, 2009
Use Somebody - Kings of Leon
FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB,...
Ya está aquí, el Festival de festivales de la música rock-electro independiente, indie, garage,... lo más de lo más , junto a los grandes nombres (Oasis, Paul Wheler) nuevos grupos que pegan fuerte... Aquí, uno de ellos: Kings of Leon, con su vocalista de voz ligeramente "cascada", a lo Peter Gabriel o Joe Cocker.
Cuatro días de auténtico lujo, en lo musical y en lo convivencial. ¡Pena, de veinte años!...
The Killers - Human [Official Video][HQ]
FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB, FIB,...
Sí, también ellos, THE KILLERS, como cabeza de lista del domingo. Aquí con su tema más actual, comercial y pegadizo.
¡Ale! Al goce despreocupado, naïve, veraniego, de... HUMAN.
(videoclip de ambientación 2001: A SPACE ODISSEY, The Dawn of the man)
Sunday, July 05, 2009
A través de la burbuja (ya no pecera)
Saturday, July 04, 2009
A través de la pecera (ya burbuja)
Thursday, July 02, 2009
Le luxe, la calme et la volupté
De Seurat a Matisse,
Saturday, June 27, 2009
A través de la pecera 14
Este farol mío
por el que no veo,
ciego de claridad,
me convierte en tuerto;
le falta contraste,
le satura el brillo,
de la forma el borde
me llega impreciso
fundido en la luz
de un todo continuo;
ya se alza el telón
y la luz se adueña
de forma y color,
su exceso ahora niega
lo que antes mostraba:
ahora todo es niebla.
Friday, June 26, 2009
A través de la pecera 12
A través de la pecera 11
tanteando en lo numinoso,
en busca de un modo de expresión
capaz de dar cuenta de mis yoes
-esos otros que están en quien aparento,
agazapados, emboscados, influyentes-;
pretendo, así, hallar una vía
de expresión coral, de desarrollo fractal,
capaz de aproximarse,
con un lenguaje polisémico,
a la realidad soterrada y multifacética
de las diversas voces
que en mi interior resuenan,
a veces, secuencialmente
pero, otras, al unísono,
en un fragor tumultuoso
de voluntades que quieren hacerse oir;
darles voz -y procurar
que ésta sea inteligible-
es el objetivo esencial
de mi acercamiento al universo poético.
Thursday, June 25, 2009
A través de la pecera 10
Transcurren los pacientes,
lentamente,
a intervalos irregulares:
son la sustancia orgánica del tiempo
en las salas de espera
de cualquier hospital.
Allí, los segundos no existen,
los minutos apenas cuentan
y la horas gravitan, pesadas,
en torno a la relatividad
del dolor o de la angustia
con que palpita la espera.
El tiempo, allí, posee el carácter orgánico
de los rostros, de sus gestos,
de la paciencia resignada,
de la voluntad abdicada.
La unidad orgánica que es el indivíduo
se hace abstracción,
objeto de medida, sujeto de tiempo;
un tiempo con múltiples caras,
que es la suma de todas las caras,
la suma de todas las historias,
la negación de todas las almas
que allí se encuentran irremediablemente presas.
El alma del tiempo
como taracea de pacientes,
caleidoscopio de individuos desindividualizados,
alma poliédricamente orgánica.
Es el paciente como Job,
pero con menos futuro,
infinitamente más efímero,
palpablemente más insignificante,
más... Cosa:
medida, sustancia de tiempo
ordenado por los dioses galénicos
-trasuntos sanitarios de cronos-,
taumaturgos del orden hospitalario,
dispensadores de la paz
(o el anonadamiento)
una vez llegado el turno.
Una sala de espera vacía
-de cualquier hospital-
es lo más parecido al vacío absoluto,
a la nada,
al instante previo al Big-Bang;
es, con sus sillas, butacas y paredes vacías,
un agujero negro
condensando energía atractiva,
ávido de pacientes anonadados
que, como meras unidades de tiempo orgánico,
acabarán siendo atraídos por su poder
y engullidas sus individualidades
para ser escupidas, después,
a intervalos irregulares,
bajo el dictado de una megafonía
demasiado afónica,
por una vocecita débil,
como llegada del más allá,
que enunciará un nombre
insignificante,
mera unidad de tiempo,
que nos hará pensar:
"ya queda menos".
lll
Wednesday, June 24, 2009
A través de la pecera 9
A través de la pecera 7
A través de la pecera 6
Tuesday, June 23, 2009
A través de la pecera 4
A través de la pecera 3
Monday, June 22, 2009
A través de la pecera 2
A través de la pecera
Dark does die - The Sunday Drivers
Oscuridad en la oscuridad,...
Luz en la luz,...
El cielo azul
sobre la superficie del mar.
Se sumerge la apariencia
en la esfera claudicante,
y de la precisa imagen
sólo conservo la idea.
Donde antes cámara oscura
hoy se asienta un océano,
donde antes veía claro
hoy sólo ondas se vislumbran.
Monday, June 15, 2009
Cíclope
Del color de la noche
se viste mi pupila:
estrellas de colores
y sombras que titilan
en el fondo deforme
de mi enferma retina.
Acude ya la luna
prodigando su plata
sobre formas difusas,
volúmenes y manchas:
sus rayos ya no alumbran,
su claridad se apaga.
De dos faros audaces
uno agotó su audacia,
donde llama ardiera antes
apenas luce hoy brasa.
Cíclope nigromante:
invoca ahora tu magia.
l
Sunday, June 14, 2009
Thursday, June 11, 2009
Tuesday, June 09, 2009
Bucle
Vos jours se glissant sur les miens...
perpétuellement, jour après jour;
je suis une victime de l'amour
confinée dans le boucle du temps.
(Fractalisations et Féli-citations
à la recherche du bonheur).
Sunday, June 07, 2009
Esquinas tiene mi mar
Saturday, June 06, 2009
Lucha fértil
Amaneceres
y con ellos, nuevamente,
aquella alada sonrisa
que revoloteaba alegre
en las luces imprecisas,...
Pero otros ojos serán
los que entre alas me reciban,
y el mar ya será otro mar,
y tú estrella que declina;
y el sol volverá a brillar
en otra mirada esquiva
que en la mía encontrará
poco esplín y mucha vida.
Friday, June 05, 2009
"Life is all about taking things in and putting things out" Telefon Tel Aviv
Continúa la sopa de rayos de sol con pesada y salobre calima...
Desde mi atalaya los perfiles del horizonte se difuminan y desparecen. La tierra, el mar y el cielo en un continuum gris azulado. La verticalidad de los rascacielos aportan perspectiva y contrapunto a este magma plomizo que penetra en los pulmones con cada respiración.
El aire haciendo de mar, interpretando su papel de mar con absoluta convicción: se podría deambular por la calle con aletas, gafas y respirador de buceo sin causar la más mínima extrañeza. Andar, en estos días, se parece más a una actividad acuática que terrestre: uno hiende el aire-mar con semejante oposición a la que encontraría sumergido en este mare nostrum que contemplo desde mi apartamento. Acabarán saliéndonos agallas...
Al día de ayer, pródigo, al final, en frutos, pude enderezarlo y sacarle un provecho inesperado por la mañana, cuando escribí el primer post del día.
Hoy, ya veremos; promete densidad y pesadez ambiental, pero... movilizaré mis reservas de imaginación (¿!).
De hecho, ya he arrancado unos cuantos párrafos al dolce far niente demoledor con que se desayunan este tipo de días.
Telefon Tel Aviv: la banda sonora de un verano perpetuo, la ambientación musical de una voluntad de amar inasequible al desaliento, el sonido de una rosa multicolor inmarchitable...
Votre son, madame.
Thursday, June 04, 2009
Rosa multicolor
Pasión
Días de plomo iridiscente
Monday, June 01, 2009
Tu mirada
Apparat-You Don't Know Me
You don't know me.
Vous ne me connaissez pas.
Tú no me conoces.
Malgré vos questions, malgré mes réponses...
Malgré vos regards, malgré mes paroles...
Malgré vos supçons, malgré mes efforts...
Vous... ne me connaissez pas... at all.
C'est dommage!