Ici oui on respecte les coups logiques: un temp = un vidéoclip.
Dans ce cas il n'y pas une vedette instrumentiste mais qu'elle est le chef d'orchestre et, bien sur, le compositeur -Beethoven, ici-.
Nous vérifions comme l'harmonie parmi le pianiste et l'accompagnement est plus naturel, l'assortiment intrumentiste-orchestre est plus homogène, l'orchestre plus protagoniste, le pianiste plus solidaire, en atteignant donc, peut-être, moins émotivité mais plus force d'ensemble.
Furtwängler-Gould deux génies absolus chaqu'un dans son propre parcelle.
Essai plus ou moins heureux pour exorciser les propres démons invoquant l'esprit de la Beauté. L'homme approche du vrai à coups d'artifice.
Wednesday, November 25, 2009
Fischer, Furtwangler: Beethoven Piano Concerto no. 5 "Emperor" (3/1/2)
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