En 1969 también aparecía este fantástico y angustioso tema (en una versión en vivo) en el extraño y experimental Ummagumma (si bien su primera aparición fue en el single Point Me At The Sky, publicado en diciembre de 1968).
El ambiente que imprime -espacial, aéreo, cuasi-hipnótico, confuso, gutural, selvático- le atrapa a uno envolviéndole en circulos concéntricos hasta estallar en ese grito espantoso, liberador, que se disuelve, expándiéndose en ecos, a lomos de armónicos-disarmónicos riffs de guitarra acompañados de un dispar ruido de fondo que sugiere arcanos paisajes interiores hasta que retorna otra vez, en sentido inverso, a la calma de una orilla pulsátil de sonoro oleaje.
Gran performance, gran tema; el mejor Pink Floyd, aunque no el más comercial.
¿Catarsis? Quizás sea la música que se oye, traída por el negro viento, cuando se surcan las aguas del Leteo.
Essai plus ou moins heureux pour exorciser les propres démons invoquant l'esprit de la Beauté. L'homme approche du vrai à coups d'artifice.
Saturday, January 31, 2009
Pink Floyd - Careful With That Axe Eugene
The Beatles Rooftop Concert 1969
Friday, January 30, 2009
The Beatles Rooftop Concert 1/3
40 añitos ya. Uno de los conciertos más singulares del grupo más plural.
1969. A punto de cumplir los trece y suspirando por Alicia de rubios cabellos y mirada de pastel azul... Yo, ajeno a lo que se estaba cociendo en una azotea de Londres, en Abbey Road. Mi hermano sí, con dieciocho lo vivía más de cerca. Mi hermano, el capricho de las chicas; el líder, el listo, el conquistador a su pesar; el rubio-ojos-azules de sonrisa encantadora... Cuántas veces me quedaba yo embobado contemplando sus guateques a hurtadillas, allí sonaban Beatles, pero también Brincos y Bravos...
Paseos interminables de miradas rebuscándose, sorprendiéndose en vuelcos de corazón tan ingenuos. Trece años y cuatro dioses de la música encaramados a una azotea de un mítico edificio de Abbey Road para ofrecer su última actuación en vivo; después se separarían incomprensiblemente. Sus canciones quedarían flotando en la eternidad como nubes cargadas de musicalidad en el cielo del genio humano.
40 años, y parece que fue ayer, o el siglo pasado, o nunca, en Londres, en el mismo Londres por dondeTú te paseas ahora, y ríes -espero que no llores- y miras y bailas con tus suaves movimientos de Caliope sin querer, quizás al ritmo de un Get Back que yo te envío.
(a no perderse los otros dos videoclips que completan este miniconcierto).
Thursday, January 29, 2009
The English Patient Soundtrack - Ending Theme
Merveilleuse bande sonore pour un film beau, très beau. Deux histoires d'amour extreme, deux exceptions à la règle... L'amour qui revient toujours, l'amour qui ne finit jamais, l'amour au-delà la mort, l'amour malgré la mort, l'amour comme un chant à la vie en temps de mort, l'amour inévitable, l'amour intarissable,...
En plus, L'Aria des Variations Goldberg de Johann Sebastian Bach et la voix de Marta Sebestyen en faisant une liaison fantastique avec la partition de Gabriel Yared.
Quelles évocations!
Friday, January 16, 2009
Furtwaengler conducts Beethoven 9th Sym finale 1942
Exceptionel document audio-visuel oú l'on voit Furtwängler diriger la Neuvième Simphony de Beethoven devant l'état major Nationel-socialiste Allemand. À la fin on peut contempler comment Goebels donne la main avec effusion à Furtwängler et comment celui-ci se nettoye avec dissimulation la sienne avec le mouchoir.
Furtwängler fut un chevalier allemand, un digne représentant du meilleur esprit allemand qui va souffrir la tempëte d'iniquité et de folie qui va s'abattre sur l'Alemagne deprimé d'entre guerres, cette sorte de folie colective qui va traïner aux allemands au désastre.
Malgré tout ça, quelqu'uns nobles esprits vont décider demeurer parmi la folie pour ne trair pas ses principes, sa culture et son devoir comme porteurs de ces valeurs devant la barbarie aveugle et vulgaire d'un malentendu destin aryen supérieur.
Thursday, January 15, 2009
La Vie et la littérature
Monday, January 12, 2009
Cécité et lucidité: le voyage nécessaire
La nuit
Félicité et Désirée
Sunday, January 11, 2009
Des Neurones danseuses
mouvant son corps joli,
tournant aux yeux fermés,
sifflant la mélodie
avec des lèvres sensuelles.
mouvant son corps joli,
tournant aux yeux fermés,
en sifflant la mélodie
avec des lèvres sensuelles.
.
mouvant son corps joli
et je la regardait
Saturday, January 10, 2009
Gould plays Goldberg Variations var25
Le plus pure romantisme dans cette variation nº 25; Chopin y est germant; et, aussi, la future musique sincopée, la musique contemporaine d'un Bela Bartok, par exemple.
Tempo sublime de Gould pour la variation la plus longue et complexe d'interprèter.
Une fois de plus le génie de Gould exprimant toute la perfection tecnique et l'émotion d'un Bach hors du temps.
Goldberg Variations 20-24
La grande difficulté, les croisements invraisemblables des mains, le sentiment presque romantique, la pulsion des doigts sur l'âme, les trilles joyeux, les échelles vertigineuses,...
et retour à la mesure à l'air gaie.
Goldberg Variations 15-19
La calme, la sensibilité molleuse, le temps parcimonieux, la mesure , le promenade tranquille au coucher du soleil,...
Et... l'énergíe, l'entrain de l'esprit, les jeux de mains, la sensibilité effervescent, le temps mesuré, toujours, le temps mesuré, comme la pluie constante de l'automne.
Continue le duo de génies.
Le vent
Friday, January 09, 2009
Viva la Vida by Coldplay (Full version)
Sí, a pesar de todo, ¡viva la vida!
porque, aunque estés lejos,te sigues asomando a todos los bellos ojos en que me miro;
porque sigo viendo tu sonrisa en todas las sonrisas;
porque tu mirada ensimismada me la devuelve, noche tras noche, el fulgor de las estrellas;
porque tu flequillo a la "française" se me sigue apareciendo cada tarde;
porque te veo danzar ligera entre las nubes;
porque tus labios siguen besando las flores de jazmín que nunca se marchitan;
porque sé que las yemas de tus dedos me acarician el corazón mientras duermes, allá, a lo lejos;
porque el sol que me ilumina a mí a ti te está iluminando;
porque la luna me cuenta lo feliz que eres en tu ciudad de ensueño;
porque te veo mirar hacia el cielo
cuando sientes un escalofrío -y soy yo que estoy pensando en ti y mi pensamiento llega a donde tú estás como soplo o aletear de ave;
porque este sentimiento no se agota y pervive fresco en un retoñar incesante;
porque sabes que te bebería deleitadamente como si fueses el más excelso néctar;
porque sabes que te degustaría como a la más delicada ambrosía;
Sí, por todo ello, ¡Viva la vida!
Porque eres sonrisa de luna,
porque eres caricia de brisa,
porque eres mirada de cielo,
porque eres danza de musa,
porque eres afán y consuelo,
porque eres pura delicia,
porque eres rubor de un anhelo,
porque eres voz de una estrella,
porque eres eco de un sueño,
porque eres insomnio de un dios,
porque eres verano en invierno,
Sí, porque no cabes en millones de palabras,
porque me haces sentir lo que siento,
¡Viva la vida! ¡Viva la vida!
¡Viva el tiempo en que te sueño!
Qu'est ce que c'est?
Coldplay_In My Place
Ils se mangent de baisers à l'aube...
Ses corps, exaltés par les caresses et la bataille continue d'une nuit jouissante, pleine de gémissements joyeux oú la vie flirte avec la mort -la vie d'un qui s'abandonne à l'autre pour retourner victorieuse à cheval du plaisir-, demandent éternité.
La fatigue n'ébranle pas les corps soumets à la joyeuse recherche de l'âme propre dans l'âme d'autrui à travers des sinueux et palpitants chemins de la chair. C'est un réciproque tourniquer des énergies qui vont et viennent au rythme de l'avidité de satisfaction -qui, par definition, jamais s'obtiendra totalement.
La lassitude survendra avec l'anéantissemnt produit par l'incapacité pour atteindre cette satisfaction (ce qui fait qu'àpres d'un periode de relax l'âme et le corps recommencent la recherche... et la douce bataille de lèvres contre lèvres, mains contre mains, peau contre peau, entrailles contre entrailles, dèsir contre désir,... jusqu'à une victoire qui jamais arrivera parce que la victoire est la bataille elle-même).
Coldplay, le fond musical de l'amour sensuel. Merci.
(Hommage à l'impossible)
Goldberg Variations 8-14
Qu'est ce que c'est la virtuosité?
Oú arrive-t-il le talent et oú commence-t-il le génie à survoler la seule habileté?
Je l'ai déjà dit. La seule habileté peut être surprenant, même admirable, mais jamais elle peut être captivant, jamais elle peut provoquer la rêverie ou la fascination, par contre le génie oui.
Une composition déterminée peut être un chef d'oeuvre mais si l'interprètation est médiocre ou elle n'est pas simplement à l'hauteur de celle-là -surtout en ce qui concerne à la capacité d'émouvoir-, alors, le chef d'oeuvre ne remportera pas son objetif et par conséquent il y aura beaucoups de possibilités que l'émotion ne surgisse non plus.
Gould est capable de transmettre toute son émotion -et, surtout, d'exprimer toute l'émotion de la partition- au clavier, et cela n'est pas futile, c'est l'essentielle: le mariage parmi le compositeur et l'interprète. Donc, si cela se produit on atteindra le grand moment musical: le ravissement.
Bach/Gould, un mariage sublime.
(Je fais un clin d'oeil pour celle qui sait).
Thursday, January 08, 2009
Réponse/reply
Wednesday, January 07, 2009
Goldberg Variations 1-7
Bach/Gould. Deux génies.
Le compositeur et l'interprète. La musique faite homme et l'homme qui devenait musique lors de ses interprétations.
À cette sorte d'hommes le coeur les battre à mesure de deux temps.
Il ne s'agit pas de virtuosité seulement. Quand le talent s'exprime sans génie, il n'est plus que des feus d'artifice, une jolie forme vide, une apparence trompeuse, une simple bulle de savon.
La profondeur de la musique de Bach (surtout ces pièces de contrapoint: Variations Goldberg, Partitas, L'Art de la Fugue) ont besoin d'interprètes gèniales, personnels, uniques. Seulement un réduit group d'élus sont capables d'y être à l'hauteur des circonstances. Glenn Gould est une de ces élus.
Sa manière hererodoxe à jouer du piano, curbé sur le clavier -presque renversé sur lui-, en gesticulant tout le temps remarquant les temps et les silences, en fredonnant les notes de la mélodie, en basculant aux yeux fermés comme s'il était aveugle,... tout cela signale que Gould lorsqu'il joue du piano devient musique lui-même; s'identifie avec son instrument de telle façon qu'il en devient une prolongation. Il est, donc, un exquis traducteur/médium qui transforme les gèniales idées musicales à gèniales sons.
Gould est un authentique thaumaturge du piano.
Imprescindibles ses interprètations des oeuvres por clavier de Johann Sebastian Bach, principalement, mais, aussi, de Beethoven, Schoenberg ou Sostakovich.
Tuesday, January 06, 2009
Les nuits Bachiennes
Johann Sebastian Bach/Glenn Gould.
Le génial compositeur et son non moins génial interprète.
Le créateur superbe, hors du temps, et le superbe pianiste, sans comparaison possible. Tous les deux virtuoses. L'un absolument extrême, l'autre absolument extremé.
Les Variations Goldberg avec les Six Partites ou l'Art de la Fugue est par soi-même tout un universe dans la musique (bien que ils appartient au style ou téchnique de contrapoint).
Les moments Bach de la nuit. Les moments Bach de Gould. Mes moments Bach à la nuit ensorcelé par Gould.
.
Monday, January 05, 2009
Les matins bachiennes
Ce matin le soleil était le Seigneur du ciel. Sur les champs d'azur quelques mouttons paissaient par-ci par-lá.
Il fait froid, bon, tout ce froid qu'il peut faire dans cette terre levantine. Mais, aujourd'hui, le soleil regnait.
De l'arrière-pays quelques formes soit globulaires tel que amibes soit irrégulières tel que échevaux effilochées se mouvaient avec paresse à travers d'un ciel bleu limpide et intense.
J'écoute Bach. Le tout terrain. Le musicien hors du temps. Le père de la musique moderne (en y regardant bien, le père de toute la musique à partir du baroque). Je n'écoutait rien de spécial, les fantastiques et connus Concerts de Brandenburg. Six pièces adorables et accessibles. Pas difficiles d'écouter. C'est le Bach populaire. Il y en a un autre Bach pour initiés. Mais, aujourd'hui, est le temps du Bach de la musique d'ambiance, des mélodies
invraisemblablement faciles (à écouter, bien sur) du Bach orchestral.
Sunday, January 04, 2009
Les jours gris
Furtwangler Beethoven 7th 1943 Mvt. 4 (1/1)
A este 4º movimiento, Allegro con brio, se refería expresamente Wagner al calificar de "apoteosis de la danza" a esta 7ª Sinfonía.
Todo el brío y la energía de Beethoven en este frenesí de crescendos, este galopar incesante que en una espiral de complejidad y aceleración crecientes culmina con una explosión sonora digna del mejor castillo de fuegos artificiales.
No cabe el estatismo ante esta avalancha de ritmos sincopados y melodías solapadas que desde los periodos de aparente desaceleración cobran nuevos bríos para desembocar en torbellinos de notas excitando los oídos y la sensibilidad hasta la extenuación.
Danza en estado puro, danza dionisíaco-apolínea (como más adelante apostillaría Nietzsche): caos melódico desatado en el orden matemático de la armonía.
Bien se podría haber asimilado a los ritos órficos de iniciación a las experiencias transensoriales.
En este punto también tendría mucho que decir Wilhelm Furwängler, quien caía constantemente en estados casi mediúmnicos, catatónicos, poseído por el espíritu de la música; no por la simple melodía, no, sino por el espíritu mismo que anima al estado creador, ese demon (súcubo o íncubo) que sólo se exorciza con la composición y/o la interpretación musical.
No había más que ver sus estrambóticas "direcciones" de Beethoven o Wagner o Bruckner, para pensar que se estaba delante de un poseso que, perdida la conciencia, se entregaba en cuerpo y alma al sentimiento de la abstracción matemática par excellence: la música.
Al final, Furwängler, como antes Beethoven, acabaría perdiendo la capacidad auditiva y, con ella, el deseo de seguir viviendo. Murió a los 68 años, en Baden Baden, tras exponerse, voluntariamente, a una neumonía.
Aún hoy se le considera el mayor intérprete de Beethoven, Wagner o Bruckner -y el más personal, por lo que, también, el más polémico.
Furtwangler Beethoven 7th 1943 Mvt. 2 (1/1)
"La apoteosis de la danza", tildó Richard Wagner a la 7ª Sinfonía de Beethoven.
Este es su 2º Movimiento, Allegretto, una maravilla de romántica cadencia, diletante, levemente melancólico; en él laten melodías ya desarrolladas en la Pastoral pero ahondando en un dramatismo casi sensual. Bucólico y decadente, burgués y dramático, este 2º Movimiento es uno de los momentos culminantes del pre-romanticismo alemán (aquí se encuentran antecedentes del mejor Wagner y mucho de Mahler o Bruckner).
Es esta una interpretación de la Filarmónica de Berlín bajo la dirección del inimitable Wilhelm Furtwängler. Grabación de 1943, en plena II Guerra Mundial, bajo el régimen nacional-socialista.
Por su permanencia en Alemania durante la contienda, Furtwängler fue, tras ésta, cuestionado primero y rehabilitado más tarde. Como él mismo dijo, se creyó más necesario a su país, al ideal de nobleza y los valores del alma alemana que para él estaban condensados en el espíritu de la música alemana (más que en la superioridad de tal o cual raza), quedándose para ser exponente y defensor de esos valores -expresados, sin ir más lejos, en la Oda a la Alegría que para la Sinfonía Coral (9ª Sinfonía) de Beethoven había escrito Schiller-
que exiliarse (como hicieran otros famosos directores de orquesta, p.e., Carlos Kleiber).
Saturday, January 03, 2009
Babyface - Not Going Nowhere
Kris Kistofferson? Leonard Cohen?
No, It's the soul/country of Babyface 2007's.
Beautiful song, great Babyface.
Pour bercer vos rêves, ma chère fascination.
(À voir sur youtube. Sorry).