La beauté se gagne, se poursuit, se découvre, se construit, se crée.
La beauté est partout, cachée aux yeux de ceux qui ne savent pas la reconnaître.
La beauté est partout, cachée aux yeux de ceux qui ne savent pas la reconnaître.
Comme le diamant, la beauté plus pure, plus rare, plus parfaite, se trouve dans les profondeurs des âmes plus sensibles et son extraction est parfois très coûteuse: c'est la beauté sublime
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Petrarca et Góngora: La source du sonnet et son plus pure expression. L'invention stylistique et son point culminant. Le génial chercheur de gemmes et son tailleur le plus raffiné et élegant .
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Petrarca et Góngora: La source du sonnet et son plus pure expression. L'invention stylistique et son point culminant. Le génial chercheur de gemmes et son tailleur le plus raffiné et élegant .
La recherche de la beauté, toujours la recherche de la beauté comme réaction à la vie nécessaire, gris, vulgaire, conformiste... stérile.
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In qual parte del ciel, in quale idea
era l'essempio onde Natura tolse
quel bel viso leggiadro, in ch'ella volse
mostrar quaggiù quanto lassù potea?
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Qual ninfa in fonti, in selve mai qual dea
chiome d'oro si fino a l'aura sciolse?
Quando un cor tante in se virtuti accolse?
Benchè la somma è di mia morte rea.
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Per divina belleza indarno mira,
chi gli occhi di costei giammai non vide,
come soavemente ella gli gira.
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Non sa com'Amor sana e come ancide
chi non sa come dolce ella sospira,
e come dolce parla e dolce ride.
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(Petrarca. Canzoniere, 159)
... Mientras por competir con tu cabello
Oro bruñido al sol relumbra en vano,
Mientras con menosprecio en medio el llano
Mira tu blanca frente al lilio bello;
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Mientras a cada labio, por cogello,
Siguen más ojos que al clavel temprano,
Y mientras triunfa con desdén lozano
Del luciente cristal tu gentil cuello,
...
Goza cuello, cabello, labio y frente,
Antes que lo que fue en tu edad dorada
Oro, lilio, clavel, cristal luciente,
...
No sólo en plata o vïola troncada
Se vuelva, más tú y ello juntamente
En tierra, en humo, en polvo, en sombra, en nada.
...
(Luis de Góngora y Argote. Sonetos Varios, CLXVI, Ed. Chacón, Biblioteca Nacional)
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